Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 10 ans
Ce texte provient du net mais le l'aime beaucoup
Voici l'histoire incroyable qui m'est arrivé cet hiver: J'ai 47 ans et ma voisine, une dame très digne, d'un âge respectable, soixante-huit ans, a bouleversé mon existence. Il y a quelques mois, mon médecin me prescrivait une série de piqûres. Je me renseignai auprès de Mademoiselle Nini, ma voisine qui habitait le quartier depuis toujours, pour connaître l'adresse d'une infirmière qui pourrait me faire mes piqûres. A ma grande surprise, Mademoiselle Nini se déclara capable et disposée à me les faire elle-même. Cinq minutes plus lard, je me trouvais dans sa cuisine, mon pantalon et mon caleçon autour des chevilles, les fesses à l'air. Avec dextérité, elle me fit l'injection et me donna deux claques sonores, pour "faire circuler le sang" comme elle prétendait. Quarante jours de suite, la même scène se déroula dans sa cuisine, à cette différence près que le nombre de claques "pour améliorer la circulation sanguine" augmentait de jour en jour. Il est évident que ces évènements nous ont rapprochés. Souvent Mademoiselle Nini venait me voir pour me demander un menu service: une course à faire en ville ou une petite réparation à effectuer. Un mercredi, fin mars, au moment du petit déjeuner, elle m'amena son moulin à café en panne. Mon café était prêt. Je l'invitai donc à prendre le petit déjeuner avec moi. Dès que nous fûmes à table, elle s'empara de ma bouteille de laxatif qui se trouvait près de moi, et m'interdit d'en prendre, prétextant que c'était très mauvais pour ma santé. Après le petit déjeuner, elle me pria de la suivre chez elle. Immédiatement, elle prépara une eau savonneuse et sortit deux poires à lavement qu'elle remplit.
- Remédions vite à votre petit problème! dit-elle, et elle m'ordonna d'enlever mon pantalon et mon caleçon, et de m'accouder sur la table de la cuisine. Aussitôt, elle m'injecta le contenu des deux poires sans oublier de me claquer vigoureusement le postérieur. Comme je revenais de la toilette, elle m'empêcha d'enfiler mon pantalon.
- Second service! dit-elle en riant. Je n'avais qu'à me pencher encore une fois sur la table, les poires étaient à nouveau remplies, prêtes à l'usage. Double injection rectale et volée de fessées. Après elle me vanta les bienfaits et les avantages de son remède en concluant qu'elle m'administrerait un autre clystère dans deux jours. Le vendredi après, je me gardai bien de me montrer. Toutefois, vers onze heures, Mademoiselle Nini vint me chercher. Pas question d'échapper à mon sort! Cette fois-ci, le traitement était agrémenté d'une bonne raclée, pire que les autres fois.
- A lundi, me dit-elle, lundi matin! Sinon gare à tes fesses! Je pris la décision de m'absenter toute la journée du lundi. Je ne voulais nullement froisser ma voisine et je ne détestais ni ses remèdes, ni sa manie de me claquer le postérieur, mais je redoutais d'être confronté, dépouillé de mon pantalon et de mon slip à une autre voisine, Madame Marthe. L'amie intime de Mademoiselle Nini, Madame Marthe, se rendait plusieurs fois par jour chez elle. Passant par les jardins, elle entrait directement dans sa cuisine. Par deux fois, lorsque j'étais là pour mes piqûres, j'avais échappé de justesse à une rencontre embarrassante avec elle. Bien que soupçonnant Mademoiselle Nini d'avoir raconté à son amie, en détails, ses activités paramédicales et punitives à mon égard, je ne désirais pas être exposé, cul nu, ou pire encore, à son regard moqueur. En plus, je craignais que la présence de son amie Marthe n'empêche nullement Mademoiselle Nini de poursuivre l'opération en cours. Le mardi matin, je guettai l'arrivée et le départ de Madame Marthe avant de donner signe de vie. Les deux dames sortaient ensemble, Madame Marthe se dirigea vers la rue et Mademoiselle Nini traversa mon jardin pour venir frapper à ma porte.
- Je dois encore venir te chercher! me dit-elle en guise de salut. Elle ne voulut même pas entrer. Je dus la suivre immédiatement. L'eau savonneuse et les deux poires déjà remplies m'attendaient prêtes à l'emploi. Madame Marthe avait donc dû assister à la préparation. Il ne me restait qu'à me déculotter. Mademoiselle Nini montra son irritation en me fessant plus fort que d'habitude. Quand je rentrai dans la cuisine après avoir évacué ma seconde dose, je la trouvai assise au bord de la table, la jambe droite raide, le pied posé au sol. Elle tapotait de sa main sa cuisse gauche, posée sur la table.
- En travers de mon genou, mon garçon, je vais te discipliner! Je m'exécutai et me couchai en travers de sa cuisse. Elle souleva ma chemise et commença à me corriger. Les gifles pleuvaient sur mon postérieur nu. Elle prolongea la dérouillée en me grondant:
- Pourquoi fais-tu tant d'histoires pour une niaiserie comme ce petit lavement? Je ne t'injecte qu'un bon demi-litre de savonnée. Tu dois à peine le sentir passer! S'il s'agissait d'une douche intestinale de deux litres, je comprendrais ton aversion. Une injection pareille peut être difficile et même douloureuse à recevoir. Moi, je fais confiance aux petits lavements. Régulièrement répétés, ils sont très efficaces! Mon amie Marthe, par contre, ne jure plus que par des clystères de deux litres: "Jusqu'à la dernière goutte, comme elle dit!" J'ai souvent vu son mari, Gérard, se tortiller sous une telle injection rectale. Le pauvre n'arrive jamais à garder son remède jusqu'à l'écoulement complet du broc! Marthe exige qu'il prenne deux litres en une fois, sinon elle recommence l'opération et je t'assure que les claques volent bas! Comme Marthe est une fille à poigne et a la main lourde, il en sort avec le popotin écarlate en prime! Mademoiselle Nini avait ponctué ses déclarations d'une quantité de claques. Quand elle me relâcha finalement, je ne pus m'empêcher de porter les deux mains à mon postérieur endolori. - C'est de ta faute, rit-elle, tu n'avais qu'à venir comme je te l'avais demandé! Elle nous versa le café pendant que je me rhabillais.
- T'as quand même pas peur de moi? Tu ne te sens pas gêné devant moi, j'espère? Rien à faire, il fallait que je lui explique mon problème.
- Mais c'est complètement ridicule! me lança-t-elle. Si je t'avais envoyé chez Marthe pour te faire tes piqûres, elle aurait bien vu tes parties charnues, et elle n'aurait pas manqué de te fustiger le joufflu! C'était désespérant, elle ne voulait vraiment pas comprendre.
- Avoue que ce n'est pas exactement la même chose que de l'avoir comme spectatrice! Répliquai-je, énervé.
- Elle m'aurait donné un coup de main comme je fais avec Gérard! répondit-elle indignée.
- Et le Gérard, que dit-il de ta présence? lui rétorquai-je. Oh tu sais, lui, il y est habitué! D'ailleurs nous ne lui donnions pas trop le temps d'y réfléchir. Quand il rentrait l'après-midi, son bouillon pointu était prêt.
- Dis-moi, Nini; as-tu jamais fessé Gérard? En un grand éclat de rire, elle me répondit:
- Certainement, mon grand, et maintes fois, je ne m'en suis jamais privée. Tu sais, le derrière nu d'un homme me fascine, c'est mon obsession de le voir rougir sous ma main. C'est sans doute ma revanche pour toutes les fessées que mon père m'a données jadis. Ni toi, ni Gérard, ni aucun des autres dont j'ai rougi le fessier, n'y ont jamais trouvé à redire, et tous se sont soumis docilement à chaque déculottée que je leur infligeai. Ils aiment donc cela, eux aussi !
- A jeudi, me rappela-t-elle, à mon départ, et ne sois pas en retard cette fois-ci, sinon Marthe viendra te chercher!
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